mercredi 31 janvier 2007

Les poèmes de France P4

Ariane

Tu es l'enfant qui brille de milles feux.
Tu commence à peine à partager tes joies

Ton visage est un soleil,
qui illumine mes jours

Sans cesse le sourire aux lèvres
Dernière de mes petites-filles

Je profite de chaque instant
que Dieu me donne pour grandir avec toi


Ton coeur si pur apporte du baume sur le mien.
Bientôt de mes mains je t'apprendrai à t'envoler

Que la vie ne détruise pas cette boule de joie au fond de toi.

Tu es venue à nous pour être aimer
Je te tends les bras, j'espère que jamais tu ne les repousseras.

France

La biographie de Francine page 1

Bonjour à vous tous,je suis Francine,


C'est à mon tour de vous livrer ma petite biographie...Je suis la deuxièmes d'une famille de quatres enfants,quelle chance nous sommes que des filles. J'ai eu une enfance heureuse, toujours dans une famille très unie. Mon adolescence a été somme des plus normal,avec les hauts et des bas que cela comporte.

C'est à l'âge de seize ans que j'ai signée un contrat à vie...Par un beau soir du mois d 'août 1971 j'ai faite la connaissance de celui qui est devenu mon mari. N'ayant aucune expérience et comme on dit si bien...l'amour rend aveugle...moi je dois en être la reine. Les fréquentations n'ont pas été de tout repos,mais je l'aimais et rien au monde n'aurait réussi à m'éloigner de lui.

Deux ans plus tard, le mariage a eu lieu pourtant il n'était pas obligé de me marier une journée qui devait être la plus belle, n'a été qu'un mauvais rêve se réalisant devant moi...Mon mari n'a affiché aucun sourire et ne m'a adressé la parole que quelques fois durant tout ce temps...excepté avec ses amis présent au mariage, aux invités petit sourire de politesse. Pour la lune de miel une petite cabane au fond d'un bois...car comme il disait ,nous serons seule et tranquille .Oui c'est juste très tranquille...Cette première nuit fut remplie de cauchemars, croyez moi ils n'étaient pas de bon présage .Mes souvenirs...comme il y a de beaux poissons!!


Francine.xx

Les poèmes de France p 2


~ Papillon de nuit ~


Tu es un papillon qui trop vite est sorti de son cocon


Tu es faite de couleurs merveilleuses Mais que la nuit a assombrit


Ton coeur est trop grand et trop fragile ç'est pourquoi les autres en abusent


Dans des sables mouvants tu t' es posé


Tes grandes ailes écorchées

Tu tente de t' envolerMais avec beaucoup de difficulté


Tu ne peux te contenter que de marcher

Car un papillon est fait pour s' envoler


Un jour sur ton appel je reviendraiPour te réapprendre à voler


À soigner les blessures


Que les tempêtes t' ont emportées


Ce jour-là je serai làMais c' est toi qui le choisira.


France

Les poèmes de France p 3

~ Aimer ~
Même dans ce profond silence,Tout a un double sens,
Suis-je heureuse ou malheureuse,Je regarde au fond de moi
Il y a toujours deux choix Mais je n’ai pas le droit de choisir.
Ma souffrance ne peut se définirCar dans celle-ci il y a l’amour
Se donner sans se perdre,
Se réchauffer sans se brûler Tomber et se relever Acceptation ou résignation.
Tout est une question de choix,Mais au fond je n’ai pas le choix,
Sauf un seul… celui d’ aimer.

France

Les poèmes de France P 5



~ Mon enfant




~Quel sera ma vie si je poursuis,quel sera sa vie si je m’ arrête ici.


J’ ai de la difficulté à penser,j ’ai peur de ce que sera la traversée.


Tant de peines à venir, je ne sais si je pourrai tenir.


Ma vie ressemble à un champs de bataille,
comme un jardin de roses pleins de broussailles.


Parfois je n’ai un répit, pour reprendre mes esprits.

Les épreuves me sont imposées sans les avoir cherchées.

Comment reconnaître mon chemin, quand il y a eu tant de chagrins.

Il faut me tenir debout, pour me rendre tout au bout. La vie d’un enfant en dépend.

Elle est là qui m’attend.

Les forces qu’il me reste, je les donnerai pour sa détresse.
Je n’attend rien en retour.


Si ce n’est que l’amour.



France

La lumière au bout du tunnel /2

Un an après notre mariage j'étais enceinte tout allait bien la grossesse se déroulait à merveille, une nuit à 2.hrs du matin mes os on crevés alors je me rends à l'hôpital tout continuait d'aller bien mais à l'accouchement des problèmes sont survenus le bébé poussait pas normalement alors le médcin a pris les forceps pour aller lui aider j'ai due être endormie car mon coeur a battu jusqu'à 200 la minute je n'en pouvais plus. Quelques heures après le médecin vient me voir pour me dire que mon bébé éprouvaient des complications il avaient des convulsions et il pensait aussi à une hémorragie cérébrale alors fallait le transférer à l'hôptal Ste-Justine de Montréal car ici ils sont pas assez spécialisés pour ce genre de cas. Moi je suis sortie deux jours après que c'est triste arrivée à la maison sans bébé sa chambre était faite depuis très longtemps. À tous les jours je téléphonais pour avoir des nouvelles l'infirmière me disait toujours que c'était stable, 8 jours plus tard on reçois un appel téléphonique pour parler à mon mari là je savais que c'était pas une bonne nouvelle voilà il venait de décédé il demandait une autorisation pour faire un autopsie, on était vendredi soir et le bébé était prêt juste le dimanche midi alors mon mari est partis avec mon père et sa soeur. Quand ils sont arrivés le médecin avait pas encore signé l'avis de décès et ça prenait un permis de la ville pour pouvoir transporter un bébé décédé dans l'auto et il fallait qui revienne chez nous avant qui fasse noir pour aller l'enterrer, finalement tout est entrer dans l'ordre quand ils sont arrivés ils sont aller chez mon père et ma belle soeur l'a lavé car eux autres c'est cousu du crâne jusqu'aux organes génitaux avec du fils à pêche je lui avais sorti son linge car je voulais qui soit habillé. Ensuite ils sont aller chez ma belle mère pour que ceux qui voulait le voir car moi je voulais garder mon bon souvenir lorsque je l'ai vu avant de partir pour Montréal. Il y a eue une petite cérémonie à l'église ensuite l'enterrement avec ma mère.

Ce que j'ai trouvé le plus difficile a été de défaire la chambre et serrer le linge dans des boîtes c'était affreux tout ça, il a bien fallu tourner la page un jour à la fois. Un an plus tard je suis devenue enceinte mais à 3 mois une fausse couche 6 mois plus tard je suis enceinte de nouveau tout va très bien mais je suis très nerveuse ayant peur qui arrive comme au premier. Le 8 janvier 1976 est né notre petit trésor Éric tout à très bien été mais je le croyais pas ça faisait trop longtemps qu'on en voulait un bébé c'était notre petit ange si précieux soit-il
ça m'a pris un bon 6 mois à réaliser qu'il était bien normal et que c'était bien notre petit ange à nous.

Un an plus tard je suis enceinte de nouveau car on en voulait 2 enfants, mais déception encore fausse couche à 4 mois le médecin m'avait dit que j'avais aucuns problèmes que c'étaient des accidents de la nature mais je devenais révoltée dans tout ça je passe vite là mais 3 ans plus tard est né Yanick le 11 septembre 1979 mais il est né prématuré à 32 semaines j'ai due être transférérer à l'hôpital Ste-Justine de Montréal car ici ils sont pas équipés pour les bébés prématurés, il était normal mais très très petit 2livres et 13 onces il l'on transféré aux soins intensifs tout de suite après sa naissance. Le médecin m'avait dit que c'est les poumons qui peuvent flancher chez les bébés prématurés alors il était branché partout pauvre petit coeur.

Trois jours après moi je suis revenue à la maison sans bébé mais encore toujours nerveux on se demandait s'il allait vivre ce trésor, à tous les jours je téléphonais mais il avait pris un peu de poids et de jours en jours c'était des bonnes nouvelles et une fois par semaine j'allais le voir lorsqu'il me l'on mis dans mes bras je lui touchait partout je croyais pas que cette petite puce a passé au travers de sa grosse lutte pour vivre. Je suis aller le chercher le 30 novembre il avait 2 mois et demi il pesait même pas encore 5.livres vu que tout allait bien il me l'on laissé même si il était pas rendu à 5 livres.BRAVO CHAMPION POUR CETTE BATAILLE À VOULOIR VIVRE.

La lumière au bout du tunnel /1


La lumière au bout du tunnel
je suis l'ainée d'une famille de trois enfants j'ai eue une enfance très heureuse mes parents étaient bien unis. J'ai connu celui est devenu celui qui est devenu mon époux en 1970 on s'est marié en 1972. Un gros drame arriva le 28 juillet 1970 ma maman est décédée d'un cancer généralisé à l'âge de 36 ans moi je venais d'avoir 17 ans, il a fallue que je prennes le rôle de mère pour prendre soin de la petite famille.
Mon père ne faisait rien pour aider les tâches ménagère car il travaillait 45 heures par semaine, il signait son chèque de paye et ma mère payait les factures etc.....alors je l'ai remplaçée pour ces tâches comme j'allais plus à l'école et que je pouvais pas aller travailler à l'extérieur je gardais des enfants à la maison pour me faire un petit salaire pour mes dépenses personnels. Mais le jour que j'ai quittée la maison pour me marier mon père était bien découragée car se prendre en main pour lui voyait ça presque impossible mais il a bien fallu qui se débrouille seul avec les deux enfants qui avait 12 et 10 ans, j'allais faire son ménage et son épicerie.